04 janvier 2005

Je ne sais pas si c’est l’effet de la reprise…

…toujours est-il que cette nuit, j’ai rêvé, dans l’ordre : que je couchais avec Marilyn Manson et que je faisais pleurer ma prof d’anglais.

Le pire dans tout ça c’est qu’il y avait une transition entre les deux. En fait j’étais dans une sorte de parc d’attraction assez lugubre et il y avait une sorte de maison hantée. J’y entrais et une fois dedans, je me rendais compte que j’étais toute seule. C’était une cave extrêmement glauque (je dois vraiment avoir un problème avec les caves) : humide avec plein de mousse et de moisissure sur les murs, et encore cet éclairage vert comme dans le rêve de l’autre fois, sauf que cette fois-ci c’était un vert plus sombre.
Et là Marilyn Manson arrivait sans crier gare et il faisait sa petite affaire. Cette fois-ci, pas d’arrachage de membre ;-)
En tout cas pas des miens, car en revanche la mâchoire de MM se décrochait au fur et à mesure tandis que ses yeux roulaient dans tous les sens, et il finissait par disparaître tout entier.
C’est peut-être risible dit comme ça, mais dans mon rêve c’était vraiment effrayant.

Après je remontais à la surface et j’allais dans une salle devant une grande roue qui s’est avérée être l’appartement de ma prof d’anglais qui se mettait à pleurer, je ne sais plus pour quelle raison. Je l’avais énormément déçue. C’était…vous savez…quand vous pleurez plus parce que vous êtes très stressé que parce que vous êtes triste.
Elle piquait une vraie crise de nerfs devant moi et dans mon rêve j’étais affolée.

Et après DRIIIING mon réveil a sonné
Et j’avais encore le cœur qui battait à 100 à l’heure.

Le symbolisme de MM, honnêtement je vois pas trop

La cave non plus et ça m’intrigue parce que ça revient souvent

Ma prof d’anglais que je fais pleurer…c’était peut-être un rêve prémonitoire parce qu’aujourd’hui j’ai eu ma plus mauvaise note de l’année en anglais (15,5…hé ouais, faut bien que je rattrape les matières scientifiques quelque part) et que j’avais oublié mon cahier du coup je me suis pris un exposé oral à préparer. Mais ça ne l’a pas fait pleurer pour autant…

La fête foraine, je sais pas non plus, mis à part que les clowns m’effraient