Du plancton saupoudré d'amiante coincé dans les fanons
[je me lance dans les titres à la Red Meat, THE Comic-strip dans lequel mon humour douteux trouve une satisfaction toute jubilatoire]
Dans la chronique du Télérama de cette semaine, il est fait mention d'une baleine de 256m de long et de 45m de large. Devant de telles proportions, je me suis exclamée intérieurement que c'était vachement huge une baleine… J'ai même pensé que pour empêcher la montée des eaux, il suffisait de tuer toutes les baleines (ce qui libère un sacré volume) et de faire des barrages de leurs cadavres sur le continent (ce qui fait obstacle aux tsunamis).
Après, j'ai compris qu'il s'agissait du Clémenceau.
…
C'est dans ces moments-là que je me réjouis que personne ne puisse lire dans mes pensées.
Depuis, je pense que pour contrer la montée des eaux, il suffit de détruire tous les gros bateaux. C'est quand même beaucoup plus éthique comme solution.
Mais j'en suis toujours à me demander pourquoi le "une baleine blanchâtre avec des taches de rouille sur tout le corps et des boyaux tapissés d'amiante" et le "on ne sait pas comment s'en débarrasser, on ne va tout de même pas la faire exploser en pleine mer" ne m'ont pas mis la puce à l'oreille.
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