13 mars 2005

De la fascination morbide pour les croquettes pour chat

Quoi ? Qu’est-ce qu’il a mon titre ?
Ca ne vous est jamais arrivé de fixer un bol de croquettes en vous disant : ‘Je goûterais bien mais j’en ai pas le courage’ ?
Ca me rappelle Jane Birkin-I-love-you-so qui avait dit qu’un jour elle avait mangé toute la gamelle de pâté pour chat, et un copain qui m’avait raconté la même chose, mais avec des croquettes.


Et c’est ce qui m’intrigue. Comme expliquer qu’une fois qu’on a commencé, on ne puisse plus s’arrêter ? Et surtout, comment se fesse (je l’écris comme je veux) que la pets food soit à ce point fascinante ? Si ça c’est pas de l’hyperbole…

Je suis sûre qu’ils mettent de la drogue dedans. Comme ça, Karl-Otto & Co boudent les autres marques parce qu’ils ont été habitués à la Césaroïne depuis leur plus jeune âge et que le Shitskas ou le Cracknigou, ça leur fait nettement moins d’effet

La drogue n’attirant pas les humains à distance jusqu’au fin fond de la gamelle, il a fallu rajouter des substances jouant le rôle d’émetteur incitant les humains à goûter.
Dans quel but me direz vous ? Tout simplement à écouler les stocks plus rapidement. (enfin pour ma part, je crois que ces émetteurs n’ont pas tout à fait l’effet escompté puisque je suis régulièrement sous l’emprise de pulsions démoniaques m’encourageant à manger mon chat femelle).

Well, en réalité je crois que c’est surtout parce que c’est bon ; pour preuve : un de mes profs d’histoire nous avait raconté que du temps où il était moniteur de colo, il avait subrepticement servi de la pâté pour cat au buffet de bienvenue. Et il paraît que les enfants avaient trouvé ça délicieux.
Ca vous étonne qu’il ait fait ça ?
Pas moi, c’est un prof après tout, c’est une circonstance atténuante.
Aïeuuuh ! je viens de me prendre un coup de massue en provenance de