Je suis bien urbaine
Au sens premier du terme, il ne manquerait plus que je sois aimable...
Si quelqu'un passait sur ce blog de temps en temps, il aurait quand même pu être assez urbain (au sens second cette fois-ci) pour me signaler que le germe d'une plante, c'est sa racine. Et non sa tige.
Parce que jusqu'à un passé très proche (hier soir, pour être précise), en jardinière attentionnée, je creusais régulièrement la terre à la recherche de mes graines pour admirer l'évolution de la croissance de mes potirons géants.
Et de me dire qu'elles étaient un peu idiotes, ces graines, de creuser vers les profondeurs, au lieu d'éclore à la lumière.
Avant d'auto-congratuler l'humain omnipotent et omniscient (moi) qui retournait les graines dans l'autre sens afin que le germe sorte de terre, et grâce à qui la position du soleil leur était indiquée.
Tout ceci afin de leur garantir une croissance des plus fastes, des plus prospères, des plus agréables.
Sauf que mes potirons se sont retrouvés les racines à l'air...
Ce après quoi d'autres que moi se seraient retirés de la vie potagère. Moi, j'ai décidé de marcher sur les mains pendant une journée entière par solidarité.
Sinon ça va, merci, je sais que le poisson ce n'est pas carré et enrobé de panure.
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